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Grand rassemblement à Montréal : 50 000 personnes dans la rue pour le Québec!
Les rues du centre-ville de Montréal étaient bondées samedi dernier, alors que 50 000 personnes ont pris part à un grand rassemblement à l’initiative des principales organisations syndicales. De l’Abitibi-Témiscamingue en passant par la Gaspésie, le Saguenay–Lac-Saint-Jean, la Mauricie et l’Estrie, des autobus des quatre coins du Québec ont convergé vers la métropole avec, à bord, des milliers de travailleuses et travailleurs venus dénoncer les projets de loi antisyndicaux du gouvernement. -
Entrée en vigueur de la Loi no 14 : les organisations syndicales déposent des contestations
À peine entrée en vigueur le 30 novembre 2025, la Loi no 14, Loi visant à considérer davantage les besoins de la population en cas de grève ou de lock-out qui a été adoptée par le gouvernement de François Legault le printemps dernier, est déjà contestée devant les tribunaux. La CSQ, la FTQ, la CSN, la CSD et l’APTS, qui représentent ensemble plus d’un million de travailleuses et de travailleurs, annoncent le dépôt de contestations juridiques coordonnées. -
LETTRE OUVERTE: «Notre démarche syndicale n’est pas négociable»
Cette lettre ouverte, porté par Valérie Larivière, enseignante en éducation physique à Lavaltrie, et Kathy Germain, travailleuse sociale à Rouyn Noranda, est également cosignée par 171 membres des Réseaux des jeunes et d’action sociopolitique de la CSQ*. -
LETTRE OUVERTE | Debout contre les dérives autoritaires de la CAQ
Le gouvernement de la Coalition avenir Québec a choisi la voie du repli, des coupes, de la confrontation et du déni de la démocratie. -
Laïcité : «Un projet de loi qui soulève des questions légitimes»
La CSQ et ses fédérations des réseaux de l’enseignement supérieur, de la petite enfance et de l’enseignement privé dénoncent les zones floues du projet de loi n0 9, Loi sur le renforcement de la laïcité au Québec, déposé cette semaine par le ministre Jean-François Roberge. Elles pressent le gouvernement d’agir avec prudence sur un enjeu aussi sensible. -
Projet de loi no3 : la CSQ dénonce l’ingérence du gouvernement
Le projet de loi no 3 du ministre du Travail, Jean Boulet, a fait couler beaucoup d’encre cette semaine. Invité par plusieurs médias afin d’en discuter, le président de la CSQ, Éric Gingras, n’a pas manqué de déplorer l’ingérence du gouvernement dans les affaires internes syndicales. Il appelle plutôt à un dialogue social réel. -
Saison 4, épisode 2 | L’état de droit au Québec
Découvrez ce nouvel épisode du balado Prendre les devants. -
Rémunération des salariées et salariés : la vigilance est de mise
L’écart salarial et de rémunération globale persiste entre les travailleuses et les travailleurs des services publics et les autres salariées et salariés du Québec, confirme encore une fois le rapport de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) publié le 26 novembre dernier. -
Mise à jour économique: «Le financement des réseaux mis de côté»
« À la lumière de ce qui a été annoncé aujourd’hui, il nous semble évident que le gouvernement saupoudre des mesures pour faire oublier sa mauvaise gestion des réseaux publics », a déclaré le président de la CSQ, Éric Gingras, alors qu’il réagissait à la mise à jour économique du ministre des Finances du Québec, Éric Girard. -
«C’est aux travailleuses et aux travailleurs que le gouvernement s’en prend»
De passage en commission parlementaire devant les membres de la Commission de l’économie et du travail, la CSQ affirme que le projet de loi no 3 (PL3) constitue une entrave aux activités d’une organisation syndicale et qu’il représente un abus de pouvoir. -
LETTRE OUVERTE | Pour une recherche ouverte et innovante!
Au Québec, nous aimons dire que notre avenir passe par le savoir. Nous croyons en une université ouverte, dynamique, capable de répondre aux défis sociaux, économiques et environnementaux qui façonnent notre époque. Pourtant, un paradoxe persiste : alors que les chargées et chargés de cours représentent la majorité du personnel enseignant universitaire – près de 15 000 personnes –, leur contribution à la recherche demeure largement sous-exploitée. Ce gaspillage de talents n’est pas seulement injuste : il prive notre société d’un formidable levier d’innovation. -
Dix jours d’absence rémunérés pour se protéger
La violence conjugale est un fléau sur lequel nous avons, collectivement, un devoir d’agir. Ce n’est pas un simple problème de couple, c’est un enjeu social majeur. Et c’est ensemble que nous viendrons à bout de cette violence.