Les maux de la langue
Scalpeur ou trafiqueur de billets
25 novembre 2011
Bien sûr, pour désigner une personne qui, selon l’Office québécois de la langue française (OQLF), « cherche à vendre à prix gonflés, aux abords des salles de spectacle et des stades, des billets à ceux qui n’ont pu s’en procurer aux prix officiels », on devine qu’il faut parler d’un trafiqueur de billets et non d’un scalpeur. L’OQLF accepte également les expressions revendeur de billets et revendeur au noir.