-
La CSQ annonce la troisième édition des bourses de persévérance autochtone
Dans le cadre des Journées de la persévérance scolaire qui s’amorcent aujourd’hui et s’échelonnent jusqu’au 16 février 2024, la CSQ est fière d’annoncer la troisième édition des bourses de persévérance scolaire autochtone CSQ, en collaboration avec ses fédérations du réseau scolaire (FSE-CSQ, FPPE-CSQ, FPSS-CSQ et FPEP-CSQ). -
La CSQ plaide pour une clarification du projet de loi
La CSQ participait ce matin à la commission parlementaire portant sur l’étude du projet de loi no 47, Loi visant à renforcer la protection des élèves. -
La CSQ recommande d’aller plus loin pour les victimes
« Ce projet arrive à un moment décisif où la société québécoise doit prendre un nouveau virage dans le traitement de la violence à caractère sexuel. Les rapports rédigés sur le sujet ont conclu qu’il est temps de changer les pratiques et les procédures, jugées trop longues et complexes pour les victimes qui souhaitent porter plainte, sortir de l’isolement et prendre la parole. En ce sens, le projet de loi no 42 fait un pas en avant. Mais il demeure perfectible, notamment quant à la simplification des façons de porter plainte. Le projet de loi introduit aussi différentes définitions et notions de violence, ce qui a pour effet de diluer la cohérence du cadre juridique et du processus de recours », a souligné d’entrée de jeu Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), en commission parlementaire sur le projet de loi no 42. -
Le plan doit reposer sur la participation de l’ensemble du personnel
La CSQ et ses fédérations du réseau scolaire (FSE-CSQ, FPSS-CSQ, FPPE-CSQ) accueillent avec satisfaction et quelques questionnements le plan de rattrapage scolaire déposé ce matin par le ministre de l’Éducation. -
Prendre les devants!
« Après les négociations du secteur public, 2024 sera une année d’action et de transformations », de lancer d’emblée Éric Gingras, président de la CSQ, en conférence de presse aujourd’hui, tout en soulignant que ce sera également une année de congrès pour la Centrale. -
La parole est maintenant aux 420 000 travailleuses et travailleurs du Front commun
Après des semaines de négociations intensives et après avoir consulté ses instances intermédiaires, le Front commun confirme que l’entente de principe conclue à la fin décembre avec Québec sera soumise aux membres représentés par le Front commun.