« C’est être capable de décider ce que je veux dans ma classe. Nous avons une formation, nous sommes des gens intelligents. Nous sommes capables de bien enseigner. »
– Sébastien Gauthier, membre du Syndicat de l’enseignement du Haut-Richelieu (CSQ) |
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« Si je ne peux pas être maitre de ma profession, de ma façon de penser et transmettre ma passion et mes connaissances, je ferai autre chose, car c’est la base de l’enseignement. »
– Monique Brassard, membre du Syndicat de l’enseignement de Charlevoix (CSQ) |
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« Ça veut dire pouvoir prendre des décisions sans que nous soyons obligés de toujours rendre des comptes. »
– Anna Panziery, membre de l’Association des professeurs de Lignery (CSQ) |
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« C’est être formé, autonome et maitre de sa classe. Ça veut aussi dire avoir des gestionnaires qui nous font confiance. »
– Paule Cousineau-Pelletier, membre du Syndicat de l’enseignement de l’Estrie (CSQ) |
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« Ce qui me touche le plus, c’est de respecter ma couleur à moi, car mes élèves ont chacun la leur. Je souhaite rejoindre le plus grand nombre d’élèves tout en étant vraie.
– Geneviève Angers, membre de l’Association des professeurs de Lignery (CSQ) |
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« Ça signifie pour moi d’être capable de gérer nos classes, mais aussi d’être consultés par nos directions. »
– Marc-André Boucher, membre du Syndicat de l’enseignement de la région des Moulins (CSQ) |
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« Pour moi, c’est l’autonomie et la reconnaissance de la part de nos supérieurs immédiats, mais aussi de la population. »
– Jean-Guy Bouchard, membre du Syndicat de l’enseignement du Lanaudière (CSQ) |
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« En formation professionnelle, c’est une enseignante ou un enseignant passionné de sa profession et de pédagogie, et capable de transmettre sa passion. »
– Marie Duhaime, membre du Syndicat de l’enseignement des Vieilles-Forges (CSQ) |
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« Je suis la meilleure personne pour décider ce qui est bon pour mes élèves, parce que je les connais et parce que j’ai bâti une relation avec eux. Je veux qu’on reconnaisse que je suis qualifiée et que ma formation me donne le pouvoir de prendre ces décisions. Dans ma classe, je choisis mes approches pédagogiques, mes évaluations, je monte mes cours, toujours en lien avec le programme, mais ça me laisse une latitude sur les angles d’entrée et sur le choix du matériel. »
– Isabelle Perreault, membre du Syndicat de Champlain (CSQ) |
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« Je peux identifier les besoins de mes élèves, décider ce qui est bon ou moins bon pour eux et à quel moment. »
– Manon Bédard, membre de l’Association des professeurs de Lignery (CSQ) |
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« Nous sommes les professionnelles et professionnels de l’enseignement. Nous devrions être consultés sur la manière dont nous voyons l’avenir de notre profession. »
– Sophie Lamontagne, membre du Syndicat de l’enseignement Val-Maska (CSQ) |
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